Des astuces d'acquisition pour vous aider à améliorer vos taux d'acceptation pendant les fêtes de fin d'année

Y a-t-il quelque chose de plus pénible pour un propriétaire d'entreprise que de voir des transactions clients refusées dans ses livres pendant la période la plus rentable de l'année ?

Probablement pas, car ils savent ce que cela signifie : des ventes perdues et des clients potentiels qui reviennent et vont voir ailleurs. Dans le monde entier, près de 8 % de l'argent dépensé en ligne est refusé au cours du processus d'autorisation. Il n'est donc pas surprenant que, selon une étude, les refus de transaction soient la principale préoccupation de plus de la moitié des commerçants.

En 2020, les pertes de cette nature risquent d'être particulièrement importantes, car les restrictions liées aux pandémies ont poussé l'activité de vente au détail en ligne à un niveau plus élevé que jamais. Deloitte estime que les ventes au détail en ligne pendant la saison des fêtes atteindront au moins 182 milliards de dollars rien qu'en Amérique du Nord, soit une augmentation de 25 %. Les enjeux sont donc élevés.

Maintenant, évidemment, parfois les refus sont nécessaires. Une transaction peut être frauduleuse. Cependant, c'est la seule raison valable pour un refus.

Et si je vous disais qu'il existe des astuces qui vous permettent d'éviter les refus de transaction même si les données de la carte de crédit d'un client ne sont pas à jour, ou si le compte d'un client n'est pas suffisamment approvisionné ?

Le bourbier d'acquisition

Le fait est que l'étape d'acquisition d'une transaction - c'est-à-dire le transport des fonds entre le commerçant et la banque émettrice - est un parcours semé d'obstacles. De nombreuses choses peuvent mal tourner et, traditionnellement, l'acquéreur ou l'émetteur refuse tout simplement une transaction dès qu'il rencontre l'un de ces obstacles.

Quels sont donc ces obstacles ? Il se peut que la carte de crédit du client ait expiré, ou que le client ait mal saisi ses coordonnées. Les refus se produisent également lorsqu'il n'y a pas assez de fonds sur le compte du client pour couvrir l'achat. Un autre facteur est le choix de l'acquéreur : le fournisseur de services de paiement d'un commerçant peut envoyer une transaction au mauvais acquéreur pour cette zone géographique, ou il peut y avoir un problème de compatibilité avec la méthode de paiement choisie.

Tous les refus de transaction sont préjudiciables aux commerçants, mais ceux-ci sont particulièrement frustrants car ils sont inutiles. Mais que peut-on faire ?

Dégager le chemin

Les entreprises de 2020 ont de la chance, car elles ont désormais à leur disposition un certain nombre d'outils qui peuvent minimiser les déclins inutiles.

Mises à jour des comptes

Visa et Mastercard proposent toutes deux des solutions au problème des refus causés par des cartes de crédit expirées. Elles s'appellent Mastercard ABU (Account Billing Updater) et Visa VAU (Visa Account Updater) et fonctionnent de manière similaire. Nuvei a intégré ces deux services et nous avons déjà constaté un grand succès.

Comment cela fonctionne-t-il ? Le commerçant envoie les détails des cartes expirées de ses clients à son prestataire de services de paiement - Nuvei, par exemple - qui récupère les détails actualisés auprès de l'émetteur et les renvoie au commerçant.

Ainsi, il n'y a plus de refus de cartes expirées et, avantage supplémentaire, les clients n'ont pas à saisir de nouvelles informations sur leur carte dans votre portail de paiement, ce qui facilite d'autant plus leur parcours de paiement.

Approbation partielle

"Fonds insuffisants " - personne n'aime voir ce message à l'allure moralisatrice lorsqu'il tente d'effectuer un achat. Ne serait-il pas plus agréable de recevoir un message indiquant "La transaction a été partiellement approuvée" ? Selon une étude, 80,2 % des consommateurs disent qu'ils préféreraient recevoir un tel message.

L'approbation partielle est une solution proposée par Nuvei qui réduit considérablement les refus de transaction et l'abandon des clients. Elle permet au client d'utiliser ce dont il dispose. Il peut s'agir de n'acheter que certains articles de son panier ou de compléter son paiement par une autre méthode.

L'approbation partielle permet à Nuvei d'obtenir un nombre nettement plus élevé de transactions approuvées par la banque émettrice, ce qui, pour les entreprises, signifie plus de revenus et moins de clients frustrés.

Acheminement du trafic

Souvent, une transaction refusée n'est en aucun cas causée par le client, mais par les limites de l'infrastructure de paiement par laquelle sa transaction est traitée.

Les systèmes d'un prestataire de services de paiement peuvent tomber en panne à la suite d'un dysfonctionnement ou d'une mise à jour du système. Il se peut aussi que ce prestataire de paiement ne travaille qu'avec un nombre limité de partenaires acquéreurs, ce qui signifie que l'approbation de la transaction dépend des conditions fixées par ces parties.

Mais au bout du compte, c'est le commerçant qui doit assumer les conséquences.

Chez Nuvei, nous avons travaillé dur pour développer un réseau qui évite ces problèmes autant que possible humainement (et technologiquement). Nous sommes connectés à plus de 200 partenaires acquéreurs dans le monde entier et notre processus de routage est totalement agnostique. Cela signifie que nous envoyons chaque transaction à l'acquéreur le plus susceptible de l'approuver, et si notre premier choix ne fonctionne pas, nous en essayons un autre, et nous continuons ainsi jusqu'à ce que la transaction soit approuvée.

Et quand nous disons agnostique, nous le pensons vraiment - nous sommes même connectés à nos concurrents dans l'espace de paiement, ce qui réduit encore le risque d'un déclin causé par une incompatibilité. Notre priorité absolue est de nous occuper de nos clients et de veiller à ce que leurs revenus ne souffrent pas.